Châtel-Censoir

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Châtel-Censoir
Châtel-Censoir
Le village, depuis le port de plaisance.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Avallon
Intercommunalité Communauté de communes Avallon - Vézelay - Morvan
Maire
Mandat
Olivier Maguet
2020-2026
Code postal 89660
Code commune 89091
Démographie
Gentilé Castelcensoriens
Population
municipale
566 hab. (2021 en diminution de 11,7 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 57″ nord, 3° 38′ 05″ est
Altitude Min. 127 m
Max. 283 m
Superficie 24,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Joux-la-Ville
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web chatel-censoir.fr

Châtel-Censoir est une commune française riveraine de l'Yonne, située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Châtel-Censoir se situe au bord de l'Yonne et du canal du Nivernais, à 38 km au sud et en amont d'Auxerre[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Lorraine, plateau de Langres, Morvan » et « Centre et contreforts nord du Massif Central »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 733 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Merry-sur-Yonne », sur la commune de Merry-sur-Yonne à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châtel-Censoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,7 %), terres arables (33,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), prairies (3,5 %), zones urbanisées (2,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la ville vient de saint Censure ou Censoire, évêque d'Auxerre de 472 à 502[15],[16].

Le nom de Châtel-sans-Souef, utilisé au XVIe siècle, serait dû à ce que le château de cette ville ne possédait pas de point d'eau et qu'il fallait être « sans souef » (sans soif) pour y habiter[17]. Châtel-sans-Souef est le nom donné dans le procès-verbal du 21 avril 1547 écrit pour l'arrivée à Paris le 20 avril 1547 du premier train de bois flotté, mené depuis Châtel-Censoir par Charles Lecomte[17]. Le nom et cette explication sont encore mentionnés dans l'annuaire de la Nièvre de 1825[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Il semble que saint Censure (mort en 502) ait fait construire un château sur le site, puis ait fait don de sa châtellenie de Censoir au chapitre d'Auxerre. Le seigneur du lieu serait donc l'évêque d'Auxerre à partir du début du VIe siècle[15].

Un château fortifié existait au sommet de la butte avant que le premier lieu de culte chrétien ne soit construit, à côté du château et probablement sur l'emplacement d'un ancien lieu de culte païen[16].
Durant le Moyen Âge ce château devient l'une des sept châtellenies de Donzy[18]. Au IXe siècle un chapitre de chanoines sous l’autorité de l’évêque d'Auxerre est fondé dans l'église ; il sera dissous à la Révolution. L'église devient une collégiale à leur arrivée.

En 1127 Geoffroy de Donzy, puissant féodal possesseur de Donzy, La Ferté-Loupière et Gien, est vassal de l'évêque d'Auxerre pour des biens sis à Reigny, et le suzerain de plusieurs familles portant le nom de Châtel-Censoir[19]. Lui même est apparenté au grand évêque d'Auxerre Hugues de Chalon. Lui et son lignage signent plusieurs actes à Châtel qui est manifestement en leur pouvoir. Son petit-fils Hervé de Donzy deviendra comte de Nevers en 1209 après avoir capturé son beau-père. Les domaines du gendre et du beau-père sont dès lors amenés à s'unir.

Le château est détruit au XIIe siècle par Guillaume III, comte de Nevers (1148-1161); il semble qu'il n'ait pas été rebâti[20]. Une église romane est construite, probablement dans la deuxième moitié du XIIe siècle. L'établissement collégial comprend les demeures des chanoines, un dortoir, un réfectoire et un cellier[16].

Des vestiges de l'ancien château de saint Censure ou « château d’en bas », subsistent dans la rue Campion : une maison privée abrite une cave remontant probablement au XIIe siècle[16].

Les titres de la collégiale de Châtel-Censoir permettent de mesurer la profonde détresse des habitants lors de l'affrontement entre Armagnacs et Bourguignons, se disputant le contrôle de Mailly-le-Château[21].

Châtel-Sans-Souef a l'honneur d'être le point de départ du premier train de bois (de chauffage, de construction...) ayant flotté en aval sur l'Yonne et la Seine jusqu'à Paris[17],[22], où il est arrivé le 20 avril 1547[18] mené par Charles Leconte, charpentier[23] nivernais travaillant à Paris comme maître d’œuvre de l'hôtel de ville[22]. La palme de précurseur du flottage du bois a malgré cela été donnée par Clamecy[18] (qui se trouve en bord d'Yonne) en 1828[24] à Jean Rouvet, riche marchand de bois de Paris, pour avoir le premier fait flotter du bois sur la Cure jusqu'à Paris en 1549. Il est vrai que la Cure est nettement moins navigable que l'Yonne, qui est commercialement navigable jusqu'à Clamecy (en amont de Châtel-Censoir) ; mais Rouvet n'est pas le premier à avoir flotté du bois sur la Cure : il a repris le travail de Gille Deffroissez, maître de forges du Nivernais qui s'est ruiné dans sa tentative pourtant réussie de flotter du bois sur la Cure en 1546[22]. Le commerce de bois, flotté depuis le Morvan jusqu'à Paris via l'Yonne et la Cure, a duré jusqu'au XIXe siècle.

Abbaye de Châtel-Censoir et source de Saint-Potentien[modifier | modifier le code]

Une abbaye bénédictine est fondée dans l'enceinte du château[20],[25] avant la fin du XIIe siècle.

Étienne évêque d'Autun (1171-1189), souhaite prendre la succession de l'abbé de Châtel-Censoir, à l'encontre des souhaits du pape Alexandre III qui veut y voir un nommé Seguin, chanoine de Château-Censoir et neveu de l'abbé de Saint-Germain-des-Prés. Alexandre III écrit à Guillaume de Toucy et à Matthieu, évêque de Troyes de 1169 à 1180, pour leur demander d'"éclaircir le fait", ce qui signifie probablement un rappel que la volonté du pape passe avant celle d'un évêque car il ajoute que si l'élection d'Etienne a déjà été faite elle est "contraire aux saints canons". Toujours pour cette affaire mais après l'élection de Seguin à la charge convoitée, le cardinal diacre Jacques écrit lui aussi à Guillaume de Toucy en lui demandant de maintenir Seguin en place "contre les poursuites de l'évêque d'Autun qui devrait être content de l'évêché qu'il a"[26].

L'église abbatiale est si endommagée en 1448 et 1490 qu'elle doit être entièrement reconstruite[20],[27].

La source Saint-Potentien se trouve à environ 1 km au nord du village, entre le canal et la rivière Yonne. Fin XIXe ce n'est plus qu'une flaque d'eau sous des saules, alimentée par le canal. Elle a pris le nom de saint Potentien après que, selon la légende, celui-ci s'en soit abreuvé. Sa renommée médicinale s'est étendue jusqu'au Morvan pendant des siècles et le pèlerinage de la fête patronale était très fréquenté[28].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Châtel-Censoir Blason
D'azur à un château d'or posé sur une terrasse d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2014 Jean-Claude Bohain    
mars 2014 2020 Bertrand Massias Jurien de La Gravière DVD Industriel
juillet 2020 En cours Olivier Maguet DVG  

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 566 habitants[Note 3], en diminution de 11,7 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0161 0671 1411 2111 2071 3101 3321 4231 422
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3461 3441 3461 3121 2351 1921 1481 1351 012
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
983891934826823787748756662
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
708805713677602657674670663
2015 2020 2021 - - - - - -
641571566------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Une petite activité de pêche est constatée au début du XVe siècle.

A partir du milieu du XVIe siècle, la ville abrite de très nombreux compagnons de rivière recrutés en son sein, employés par les marchands de bois locaux, de Clamecy ou d'Auxerre, pour mener les trains de bois (de chauffage) jusque dans les différents ports parisiens, jusqu'au tout début du XXe siècle. Ces professionnels sont correctement rémunérés et conservent leurs attaches agricoles quand la saison de navigation cesse. A la descente, ils logent dans des huttes posées sur les trains. A la remontée, ils rentrent à pied à leur domicile, en allant d'hôtellerie en hôtellerie. Ils n'effectuent pas de transport de fret (vin, plâtre, tuiles, briques), qui reste le domaine des voituriers par eau.

Des marchands de bois (Gandouard, Tenaille) domiciliés en ville affrètent depuis les forêts domaniales gérées par les receveurs seigneuriaux les trains de bois. Au milieu du XVIIIe siècle, les trains de bois arrivent en un point central : l'entrepôt pour la provision de bois de Paris, qui occupe la moitié Sud de l'actuel XIIIe arrondissement.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments notables[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Relief en hommage à C. Rozanoff.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Annie Hervé, La Vie de Châtel-Censoir à la fin du XIXe siècle, conférence de Mme Annie Hervé, Châtel-Censoir (la mairie) : Association Châtel-Censoir d'hier et d'aujourd'hui, 1987
  • Frédéric de Berthier de Grandry, La Famille d’Achille Tenaille de Vaulabelle (1799-1879), un ministre pionnier de l’Éducation nationale, préface de Jean-Pierre Soisson, Paris, 1998-2004 (ISBN 978-2-9513699-2-4)
  • Guy Demanche, Chatel-Censoir a la découverte d'un patrimoine méconnu, 2008 (auto-édition)
  • Guy Demanche, Châtel-Censoir : mélanges castelcensoriens, Châtel-Censoir : Châtel-Censoir d'hier et d'aujourd'hui, impr. 2010
  • Théophile Ébray, Étude des modifications de l'étage callovien et preuve de l'existence de cet étage aux environs de Châtel-Censoir, Paris : impr. de L. Martinet, extrait du "Bulletin de la Société géologique de France". 2e série. T. XVII, p. 161. Séance du 16 janvier 1860
  • Maëlle Hamma, « Edme Champion, natif de Châtel-Censoir : un grand homme avec sa part d’ombre », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Émile Pallier, Recherches sur l'histoire de Chatel-Censoir, réédité par Laffitte (1981)
  • Émile Pallier, Étude sur la crypte et le chœur de l'église de Châtel-Censoir, 1897
  • Émile Pallier, Recherches sur la préhistoire de Châtel-Censoir et des territoires voisins, 1900
  • Michèle Mathieu, Le voyage de Bergamote jusqu'à Châtel-Censoir-sur-Orchidées : 23 sortes d'orchidées sauvages sur le territoire de la commune ainsi que 8 circuits pour les découvrir. N° (ISBN 978-2-9538702-0-6) (2011), prix festilivres-Jeunesse de Monéteau en 2011.
  • Michèle Mathieu, Bergamote's journey to Châtel-Censoir and its orchids : traduction en anglais du livre précédent. N° (ISBN 978-2-9538702-1-3) (2011).
  • Abbé Jean Lebeuf, Mémoire concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre, vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne)
  • Charles Chauvelot, Notice historique sur le flottage des bois en trains, ou Solution du point ..., Paris, Ledoyen, , 62 p. (lire en ligne).
  • Gustave Cotteau et Victor Petit, Description de la vallée de l'Yonne : voyage neuvième, Auxerre, Annuaire de l'Yonne, , 23 p. (lire en ligne), p. 263-291.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Ne pas confondre avec Ernest Depré, auteur dramatique et romancier (1854-1932).

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Châtel-Censoir sur google.fr – cartes IGN.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Châtel-Censoir et Merry-sur-Yonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Merry-sur-Yonne », sur la commune de Merry-sur-Yonne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Merry-sur-Yonne », sur la commune de Merry-sur-Yonne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a et b Lebeuf 1743, vol. 1, p. 106.
  16. a b c et d « Châtel-Censoir », sur bourgogneromane.com.
  17. a b et c Chauvelot 1845, p. 45.
  18. a b c et d Cotteau 1851, p. 282 (page 14 de l'article). Pour la citation de l'annuaire de la Nièvre de 1825, voir note en bas de page.
  19. Etienne Meunier, « Recueil de 34 familles de chevaliers de l'Auxerrois apparues avant 1371. », Cahiers généalogiques de l'Yonne, vol. 23,‎ , p. 11, 19, 51, 57, 60.
  20. a b et c Cotteau 1851, p. 283 (page 15 de l'article).
  21. A.D. Yonne, série G
  22. a b et c Flotteurs - Un peu d'histoire sur lemorvandiaupat.free.fr.
  23. Chauvelot 1845, p. 55.
  24. Chauvelot 1845, p. 48.
  25. Ernest Petit, Description des villes et campagnes du dept. de l'Yvonne, Auxerre, Charles Gallot, (lire en ligne), p. 287-288.
  26. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 309-310.
  27. Petit 1870, p. 287.
  28. Petit 1870, p. 289.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Site du Conseil Général de l'Yonne, consulté le 9 février 2012
  34. a et b Frédéric de Berthier de Grandry (préf. Jacques de Bourbon Busset), Les Berthier, une famille de la noblesse d’épée, Clamecy (Nièvre), Nouvelle Imprimerie Laballery, , 640 p. (ISBN 2-9513699-0-5), p. 16.
  35. Frédéric de Berthier de Grandry (préf. Jean-Pierre Soisson), La Famille d’Achille Tenaille de Vaulabelle (1799 - 1879), un ministre pionnier de l’Éducation nationale, Clamecy (Nièvre), Nouvelle Imprimerie Laballery, , 448 p. (ISBN 2-9513699-2-1), p. 444-446.
  36. Frédéric de Berthier de Grandry, La Famille de la dernière duchesse de Fitz-James, Les Gand’Oward de Magny, Clamecy (Nièvre), Nouvelle Imprimerie Laballery, , p. 5-30, CSGY n°XIV, SGY.
  37. Source : Émile Pallier[réf. non conforme]